Rilke Allongé au soleil, les paupières closes, Rilke attend la première rose. PartagerCliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Articles similaires Auteur : Nicolas Esse Depuis 1962, je regarde les nuages qui passent avant d'aller mourir. Voir tous les articles par Nicolas Esse